Propos très justes d’un camarade qui porte là une analyse qui serait tellement utile pour sortir d’une situation mortifère
Si la CGT obtient la première place, ce qu’il faut retenir c’est le taux d’abstention de plus de 94%...
Et bizarrement cela ne choque pas les centrales, qui sont touchées comme le reste des appareils par une défiance historique. ..
J’ai ma petite idée sur le pourquoi, aujourd’hui les syndicats sont devenus des partenaires, (...)
Ce jour, les grecs choisissent leurs députés ; les sondages donnent SYRIZA en tête, parti qui veut marquer un net tournant avec les politiques précédentes qui ont plongé le peuple grec dans le dénuement et la pauvreté. Que le peuple grec se lève et ouvre la voie à une autre politique, anti-austéritaire.
L’on ne peut que soutenir la voie initiée par syriza.
Vive le peuple grec !
Vive syriza ! vive le peuple grec 25 janvier 2015 - 18h53 - Posté par arnold
L’enjeu est, pour le parti arrivé premier, d’obtenir 151 députés, soit la majorité absolue. Vu l’importance de la prime majoritaire (16,7 % des sièges), un parti n’a besoin que de 40,4 % des suffrages exprimés, au plus, pour obtenir une majorité absolue de sièges au Parlement
Vive syriza ! vive le peuple grec 25 janvier 2015 - 20h43 - Posté par arnold
Précision oubliée de ce copié/collé de Wikipédia :
Ce pourcentage nécessaire diminue avec le pourcentage total réalisé par seuls partis ayant atteint le seuil de 3 %. Il est calculé en multipliant ce pourcentage par 101/250, puisqu’il s’agit d’obtenir au moins 101 des 250 sièges attribués à la proportionnelle.
En mai 2012, le total des voix des 7 partis ayant dépassé les 3 % a été légèrement inférieur à 81 % des votes exprimés. Il aurait donc suffi qu’un des partis récolte 32,8 % des suffrages pour obtenir la majorité absolue ( = 81 × 101/250).
Donc oui Syriza pourrait obtenir la majorité absolue.
C’est un scrutin à un tour. Les Grecs élisent 300 députés à la proportionnelle dite renforcée : 238 le seront dans la cinquantaine de circonscriptions du pays, et douze, généralement des personnalités, le seront à partir de « listes d’Etat », ce qui les dispense de faire campagne. Le parti arrivé premier dispose d’un bonus de 50 sièges, à choisir parmi les suivants de liste.
Quand doivent tomber les résultats ?
Les bureaux de vote ferment à 18 heures heure française (19 heures en Grèce). On aura alors rapidement une première image globale des résultats. Les premières projections officielles devraient être disponibles vers 20h30, heure française. Les résultats seront affinés au cours de la soirée. Tout dépendra de l’écart entre Syriza et les autres partis.
Syriza peut-il emporter la majorité absolue ?
C’est tout l’enjeu pour le parti d’Alexis Tsipras. Il lui faudrait à la fois 36% des suffrages (ce qui est jouable mais pas garanti au vu des sondages) et que 12% des électeurs votent pour des partis qui n’entreront pas au parlement car ils auront récolté moins de 3% chacun. Si Syriza obtient la majorité absolue, Alexis Tsipras deviendrait automatiquement Premier ministre. Dans le cas contraire, s’ouvre une période de négociations avec les autres partis. En cas d’échec des trois partis arrivés en tête à former un gouvernement, les Grecs devront retourner aux urnes en mars.
Que promet Syriza ?
En finir avec l’austérité qui asphyxie les Grecs. Le parti s’est engagé à porter le salaire minimum de 580 à 751 euros, à remonter le seuil d’imposition à 12 000 euros annuels, à rétablir le 13e mois de retraite pour les retraites inférieures à 700 euros, à offrir l’électricité et des coupons d’approvisionnement à 300 000 ménages au moins, à protéger les habitations principales des saisies, à assurer l’accès gratuit aux soins, à supprimer la taxe sur le fuel domestique, ou encore à augmenter le nombre de bénéficiaires de l’assurance chômage. L’ensemble du programme, au-delà du seul plan « d’urgence », est évalué à 12 milliards d’euros que Syriza compte trouver en réduisant le remboursement de la dette, en luttant contre la fraude fiscale et la contrebande, et en réaffectant des fonds européens.
La Grèce peut-elle sortir de l’euro ?
Pour Syriza, il n’en est pas question.
Comment peut réagir la troïka ?
La réduction d’une partie de la colossale dette grecque, un éventuel dérapage des finances publiques et la remise en cause de certaines lois imposées par la troïka (UE-BCE-FMI), comme l’assouplissement du marché du travail, pourraient constituer des casus belli entre Athènes et ses créanciers
Vive syriza ! vive le peuple grec 25 janvier 2015 - 21h19
Enfin une lueur d’espoir dans cet océan libéral, après l’Amérique du sud, l’Europe du Sud nous montre la bonne direction trop d’austérité pour les peuples qui n’y sont pour rien dans cette catastrophe. La peur doit changé de camp !
Propos très justes d’un camarade qui porte là une analyse qui serait tellement utile pour sortir d’une situation mortifère
Si la CGT obtient la première place, ce qu’il faut retenir c’est le taux d’abstention de plus de 94%...
Et bizarrement cela ne choque pas les centrales, qui sont touchées comme le reste des appareils par une défiance historique. ..
J’ai ma petite idée sur le pourquoi, aujourd’hui les syndicats sont devenus des partenaires, (...)
Pendant que la direction de Info’Com-CGT diffuse un communique intitulé « Sans salaire, sans chômage, les fauchés de la crise se multiplient » des militants de la Fédération du Livre font filtrer des infos « internes » au syndicat Info’Com-CGT
Nous rappelons que trois militants, adhérents à Info’Com CGT on été mis au chômage, sous pression de la direction de leur syndicat, et se retrouvent privés de leur poste de travail (Sacijo, societe sous-traitante du Journal (...)
Nous nous adressons plus particulièrement aux communistes membres du PCF.
Nous les invitons à écouter le message que Jean-Luc Mélenchon leur a adressé et à se faire leur opinion.
Nous connaissons les différends qui ont pu exister mais nous pensons que la gravité du moment que nous vivons mérite de porter attention à ce message
Ce message argumente autour d’une idée simple et pourtant éminemment révolutionnaire : l’enjeu de la présidentielle c’est de faire gagner le « (...)
À la direction d’Info’Com-CGT
Nous avons appris dernièrement les discriminations, les harcèlements dont sont victimes les camarades Roberto Ferrario et Sidi Boussetta.
Le camarade Roberto Ferrario est un militant qui contribue à diffuser de vraies informations, à diffuser pour le peuple et non contre le peuple, à diffuser des communiqués grâce à son site internet bellaciao.org
Sidi Boussetta, secrétaire-adjoint de l’UL CGT de Blois est un militant reconnu. Ce camarade (...)
Je pas seulement le mème deuxième prénom "Ernesto" mais je partage aussi pas mal de ces idées. Dédicace spécial à la direction de Info’Com-CGT qui discrimine et harcèle les camarades militants...
Roberto Giordano Ernesto Ferrario
"Sobre todo, sean siempre capaces de sentir en lo más hondo cualquier injusticia cometida contra cualquiera en cualquier parte del mundo. Es la cualidad más linda de un revolucionario."
Che Guevara
Traduction :
"Surtout, soyez toujours capables de (...)
Bonjour,
A l’attention
de : Romain Atlman
de : David Jordan
de : Julien Gicquel
de : Marianne Ravaud
Nous suivons toujours avec intérêt la situation dans laquelle se trouve notre camarade Sidi. Situation dont vous êtes à l’origine.
Sidi est un militant convaincu, honnête, qui donne tout de sa personne aux autres. C’est d’ailleurs notamment pour ces raisons que vous êtes venus le chercher.
Vous a-t-il fait peur ou vous a-t-il fait de l’ombre ? (...)
de Roberto Ferrario
A Ciudad Juarez depuis 1993, plus de 500 cadavres ont été retrouvés dans des décharges et dans les zones désertes, la plupart des femmes jeunes voire adolescentes, étudiantes, ouvrières de nuit dans les usines, femmes de chambres, petites employées.
Beaucoup vivent dans des conditions très précaires avec parfois des enfants à élever. Elles ont été enlevées, détenues en captivité, victimes de tortures et de graves violences sexuelles avant d’être assassinées à (...)
25 janvier 2015 - 18h12 - Posté par LeChatNoir
D apres les 1ers chiffres c est une victoir ecrasante de Syriza
A priori 37 à 39% au dessus des estimations de ces derniers temps et il leur faut 37.5% pour avoir une majorité et donc aucune excuse.
A suivre
25 janvier 2015 - 18h53 - Posté par arnold
L’enjeu est, pour le parti arrivé premier, d’obtenir 151 députés, soit la majorité absolue. Vu l’importance de la prime majoritaire (16,7 % des sièges), un parti n’a besoin que de 40,4 % des suffrages exprimés, au plus, pour obtenir une majorité absolue de sièges au Parlement
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8...
25 janvier 2015 - 20h43 - Posté par arnold
Précision oubliée de ce copié/collé de Wikipédia :
Ce pourcentage nécessaire diminue avec le pourcentage total réalisé par seuls partis ayant atteint le seuil de 3 %. Il est calculé en multipliant ce pourcentage par 101/250, puisqu’il s’agit d’obtenir au moins 101 des 250 sièges attribués à la proportionnelle.
En mai 2012, le total des voix des 7 partis ayant dépassé les 3 % a été légèrement inférieur à 81 % des votes exprimés. Il aurait donc suffi qu’un des partis récolte 32,8 % des suffrages pour obtenir la majorité absolue ( = 81 × 101/250).
Donc oui Syriza pourrait obtenir la majorité absolue.
25 janvier 2015 - 18h56 - Posté par Alain Chancogne
selon agences ces chiffres seraient dans la"fourchette" un peu audessus des prévisions
SurLIBE explications du scrutin
http://www.liberation.fr/monde/2015...
25 janvier 2015 - 19h07
putain de merde ca fait plaisir !
VIVE LES CAMARADES GRECS ! VIVE LA LIBERTEE !
25 janvier 2015 - 21h19
Enfin une lueur d’espoir dans cet océan libéral, après l’Amérique du sud, l’Europe du Sud nous montre la bonne direction trop d’austérité pour les peuples qui n’y sont pour rien dans cette catastrophe. La peur doit changé de camp !
25 janvier 2015 - 22h32 - Posté par SVPat
La Grèce écrit l’Histoire !