Sous le temps long de l’Entreprisocène, l’Etat libéral assure la restructuration-reproduction du capital .

En ce sens l’Etat, qui se montre ici plus Etat capitaliste qu’Etat social (et ce malgré des mesures résiduelles de conversion pour les salariés, massivement au chômage) est toujours un acteur de la restructuration du capital défaillant en temps de crise qu’elle soit sanitaire ou économique. Il participe de l’élimination des entreprises défaillantes (petites ou grandes) au profit des entreprises performantes qui sont de grandes entreprises. Les petites entreprises survivent et reproduisent le modèle capital-travail sans la logique de finciarisation car elles ne sont pas côtés en bourse.
Un ouvrage marxiste ancien a exposé cela clairement cf L. Boy, R. Guillaumond, A. Jeammaud, M. Jeantin, J. Pagès, A. Pirovano, Droit des entreprises en difficulté et restructuration du capital, (PUG, coll. Critique du droit, 1982). Le droit a certes changé durant la période .
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